qui remet à jour, dès les années 30, une cartographie représentant l’homme enroulé. Il publie en 1948 "Traité pratique d’iridologie médicale" et en 1077 "L’iridologie traditionnelle rénovée".
"L’œil n’est pas seulement le miroir de l’âme, il est aussi le miroir du corps"
L’iridologie constitue une véritable mine d’informations sur le corps. Elle permet d’établir un bilan de vitalité par l’observation de la tonicité des fibres qui constituent la trame irienne et de différents signes : tâches, pigmentations, colorations, formes, couleurs, reliefs,...
Cette analyse détermine les forces et les faiblesses organiques de la personne, renseigne sur sa toxémie (présence de toxines menaçant la santé) ainsi que sur ses prédispositions, souvent héréditaires, de son terrain.
Cette technique permet ainsi de prévenir les désordres ou troubles potentiels sur le plan organique mais aussi émotionnel en orientant la personne sur une hygiène de vie choisie en fonction du résultat de son bilan.
Cette étude s’effectue à l’aide d’une loupe lumineuse ou d’un iridoscope.
Un peu d’histoire
C’est un médecin Hongrois du XIXème siècle, Ignatz Von Peczely, père de l’iridologie moderne qui publia, en 1881, un essai intitulé "découverte dans le domaine de la thérapeutique et du naturisme, introduction à l’étude du diagnostic par les yeux".
Ce livre était accompagné de la première cartographie irienne du corps ou chaque organe correspond à une zone bien définie.
